FR

Quatre projets retenus dans le cadre du programme international en technologies appropriées pour le développement durable

International Publié le 17.01.2024. Mis à jour le 17.01.2024.

Dans le cadre de son dernier appel à projets, la HES-SO va soutenir quatre projets visant à développer des technologies appropriées pour le développement durable.

Ouagadougou

Ouagadougou © Wiki commons

L’objectif du programme est de promouvoir la recherche appliquée et la formation dans le domaine des technologies appropriées pour le développement durable entre la HES-SO et les pays de la région MENA et Afrique subsaharienne, promouvant ainsi le développement international de la HES-SO. Axé sur la durabilité, ce programme s’inscrit dans l’engagement de la HES-SO pour contribuer à la réalisation des ODD tels que définis par l’Agenda 2030 des Nations Unies et dans la stratégie de durabilité 2021-2024 du Rectorat.

Lors du sixième appel à projets, quatre projets ont été retenus à l’issue d’un processus d’évaluation externe. Le premier projet est porté par Vincent Bourquin, professeur à la Haute école d’ingénierie et d’architecture de Fribourg, en collaboration avec l’Université de Toliara à Madagascar. Le projet s’intéresse aux cultures d’algues et la production de biomasse valorisable pour l’accès à la nourriture et à l’énergie.

Le deuxième projet se propose de développer un ventilateur abordable et durable pour le traitement des apnées du sommeil en Afrique subsaharienne. Il est dirigé par Pascal Coeudevez, professeur à la Haute Ecole d'Ingénierie et de Gestion du Canton de Vaud, en collaboration avec l’Ecole Polytechnique d’Abomey-Calavi de Cotonou et le Centre National Hospitalier Universitaire de Pneumophtisiologie et de Pneumologie (Benin).

Le troisième projet prévoit une collaboration avec l’Université Mohammed VI Polytechnique (Maroc) et l’Université de Ngaoundéré (Cameroun) afin de développer une solution durable d'électrification pour la transformation alimentaire de produits agricoles en zone de développement économique en Afrique. Ce projet est porté par Laurence Nicolay, professeure associée à la HES-SO Valais-Wallis – Haute Ecole d’Ingénierie.

Le quatrième projet s’intéresse aux risques d’inondation dans la région du Cap Bon en Tunisie. Il est dirigé par Amel Souissi, professeure à la HES-SO Valais-Wallis – Haute Ecole de Gestion, en collaboration avec l’Institut National Agronomique de Tunisie.